Monsieur le secrétaire d'État, je connais votre implication dans la lutte antiterroriste. Nous avons eu l'occasion de travailler ensemble, en particulier à Marseille. Ma question était simple ; elle ne mettait pas en cause les services de renseignement. L'imam dont nous parlons a fait l'objet, en 2015, d'une OQTF. C'est purement factuel. Cette obligation n'a pas été mise en oeuvre.