Ma question s'adresse à M. le ministre de l'intérieur.
Comme plusieurs de mes collègues, j'ai assisté à l'hommage rendu ce matin aux quatre fonctionnaires tués par l'un des leurs dans la tragique attaque perpétrée au coeur de la Préfecture de police de Paris. Je tiens moi aussi à honorer leur mémoire.
À la suite de cet attentat, vous avez affirmé vouloir instaurer l'automaticité du signalement en matière de radicalisation. Je suis surpris : je pensais qu'après quatre années d'attentats, le signalement automatique était déjà une évidence.