Monsieur Dufrègne, avec tout le respect que je vous dois, il n'y a jamais eu de cordon ombilical entre nous et le Château !
J'ai écouté avec attention les propos, toujours instructifs, de madame Pires Beaune. Sa proposition, bien que je ne la soutienne pas, est intéressante. Je soutiens, en revanche, ce qu'a dit madame Cendra Motin. Madame Dalloz, je vous ai aussi entendue. Ceux qui ont la chance d'avoir encore des parents ont et auront, comme nous tous, des préoccupations en matière de dépendance. C'est un problème lourd que, sur le plan politique, les majorités d'aujourd'hui comme celles de demain devront gérer.
Agnès Buzyn l'a dit – jusqu'à présent, elle a fait ce qu'elle a dit –, elle présentera un projet de loi de financement de la dépendance. Ce type de mesures, qui m'interpelle, a vocation à financer un tel projet de loi. Peut-être pouvons-nous nous rencontrer pour réfléchir à un autre véhicule, car celui-ci n'est pas le bon. Néanmoins, et je le dis sincèrement, au nom du groupe La République en marche, ce n'est pas parce que l'idée ne vient pas de nous que je ne la trouve pas intéressante.