Madame Cariou, nous sommes tous d'accord pour dire qu'il nous faut plus de médecins. Il n'en demeure pas moins qu'il est nécessaire de trouver des solutions dans cette période transitoire et qu'il y a des territoires qui ont plus de difficultés que d'autres.
Monsieur le rapporteur général, les zones de désertification médicale ne sont peut-être pas définies dans le code général des impôts mais elles sont prises en compte par les ARS. C'est sur ces territoires qu'elles soutiennent la création de maisons de santé.
Je vais retirer mes amendements pour travailler à une meilleure définition juridique pour les redéposer en séance.