Si l'on prend l'exemple de Chenonceau ou de Vaux-le-Vicomte, vous avez raison. Mais il s'agit, en l'occurrence, de petits sites dont les recettes commerciales sont tout à fait insuffisantes pour faire vivre leur propriétaire. Celui-ci, obligé d'avoir une activité professionnelle par ailleurs, est donc assujetti à l'IFI. On en arrive à ce paradoxe que les propriétaires de très grands sites comme Chenonceau ou Vaux-le-Vicomte ne sont pas soumis à l'IFI alors que les propriétaires de sites moins remarquables sont entravées par l'IFI.