Monsieur le rapporteur général, j'entends bien que nous devons discuter avec les constructeurs. Il faut le faire, parce qu'ils sont prêts et qu'ils travaillent sur les nouvelles technologies. De la même façon, leurs clients sont prêts. Certains exigent même parfois, dans la grande distribution par exemple, des moyens de transport propres. Le climat actuel est favorable à la négociation. Nous devons avancer dans ce domaine.