La question qui se pose est bien celle de la détection et, tout compte fait, du niveau sonore du stéthoscope qu'il faudrait poser sur ces premiers signaux. Mes questions paraîtront basiques, mais je crois important d'entendre vos réponses : qui fait les signalements, et selon quelle procédure ? Vous avez parlé de signalements formels et de signalements informels : pouvez-vous définir ces notions ? Concrètement, qu'est-ce qu'une alerte ? Enfin, comment peut-on avancer sur la question de la radicalisation comme motif de révocation ?