Monsieur Masson, j'ai bien noté que vous m'intentiez un procès politique. Vous savez qu'il n'est pas inintéressant, pour un ministre, de recueillir des propositions parlementaires. Or, je n'ai entendu dans votre bouche que les mots de « déni » et d'« abandon ». Ça ne me paraît pas digne de ce qui se fait, concrètement, dans notre pays, des cinquante-neuf attentats qui ont été déjoués au cours des dernières années, du travail quotidien des services.