Je voulais évidemment m'associer à la demande de nos collègues et aussi revenir sur la réaction qu'a eue l'un de nos collègues de la majorité hier, lorsque nous avons abordé ce débat. Pourquoi la montagne demande-t-elle toujours plus de faveurs ? a-t-il demandé.
À ce collègue, je voudrais rappeler deux choses. Premièrement, il existe une loi montagne qui reconnaît la spécificité de ces zones et qui acte, pour elles, une adaptation de la règle.
Deuxièmement, les questions de déneigement et de nivellement ne se posent pas de la même façon en plaine. Les collectivités, les régies et les exploitants ne sont pas dans la même situation. Combien de fois déneige-t-on à Paris ? Peu fréquemment, il me semble.