Or tout cela a énormément changé. Ils se sont adaptés, au point de réduire leurs émissions de moitié – et s'il existait des technologies de substitution leur permettant de faire mieux, ils les utiliseraient. En tout état de cause, ils utilisent les meilleures technologies qui existent en la matière – les services ont vérifié ce point. Il faut donc les encourager au lieu de les décourager comme c'est le cas actuellement puisqu'en cinq ans, l'augmentation de la TGAP a annulé l'essentiel des économies réalisées au travers de la réduction des émissions. En outre, il s'agit d'une filière fragile et qui présente un grand intérêt pour l'élevage français.