Je me permets en effet de m'exprimer, puisque madame la secrétaire d'État m'y autorise, s'agissant de la direction générale des douanes et droits indirects. Je note que MM. Molac et de Courson ne partagent pas exactement les mêmes arguments : l'un juge les contrôles insuffisamment fréquents, tandis que l'autre estime que les services de contrôle manquent de moyens. Quoi qu'il en soit, je vous invite tous deux à vous rendre dans le service de douane de votre choix pour considérer la situation sur place et sur pièces. La direction générale des douanes et droits indirects répondra favorablement à vos demandes. Nous aurons alors l'occasion de reparler de ces amendements d'ici à la deuxième lecture du projet de loi.