Je ne suis pas d'accord avec ce que vous venez de dire.
L'année dernière, je crois, nous avions décidé de soumettre le tallol et le brai de tallol au seuil de 0,6 %. M. le rapporteur général souligne qu'ils sont importés – certes, mais cela aggrave leur cas !
D'autre part, pour mesurer les externalités de l'utilisation d'un produit, madame la secrétaire d'État, plusieurs facteurs sont à prendre en considération : il ne suffit pas de regarder les émissions. Votre argument consiste à dire que c'est moins pire – mais ce n'est pas très bon non plus. Pourquoi soumettre les uns au seuil de 0,6 %, et pas les autres ? Voilà la question.