Je suis heureux d'avoir provoqué autant de conversions ; c'est rare ! Premièrement, le travail effectué par M. Mattei et M. Coquerel nous obligeait à donner du corps à l'article 3. Deuxièmement, j'avais en effet rejeté les seuils non connus, difficiles à appliquer. Troisièmement, les chiffres relatifs au nombre d'entreprises, madame Pires Beaune, ne figuraient certes pas dans l'étude d'impact, mais se trouvaient bien dans mon rapport, me conduisant à considérer que le seuil de 250 millions était plus adapté pour faire de l'article 3 un véritable signal, conformément au souhait exprimé par M. Mattei. Comme je l'avais annoncé en commission des finances, je donne donc un avis favorable aux amendements identiques.