Il propose une modification en matière de droit de transmission. Amendement d'appel, il invite à réfléchir sur la suppression des successions au quatrième degré. J'ai bien conscience que la mesure exige de modifier d'autres règles, notamment du code civil, mais l'idée serait qu'à partir du quatrième degré, sauf testament, ce soit l'État et non des cousins très éloignés qui hérite du patrimoine. Dans l'état actuel des choses, au-delà du quatrième degré, les successions sont taxées à 60 % et s'avèrent très compliquées à régler. Si, en l'absence de testament le patrimoine allait à l'État, cela représenterait des recettes non négligeables et éviterait des états d'indivision souvent néfastes pour les collectivités.