J'appelle l'attention du secrétaire d'État sur le caractère inéquitable de la mesure proposée. Lors de son départ à la retraite, le salarié qui sera resté trente-cinq ans dans l'entreprise percevra une indemnité de départ considérable, pouvant représenter jusqu'à huit mois de salaire. Cette année-là, le montant de son impôt explosera. La mesure d'étalement permettait de surmonter cette difficulté courante. Je vous invite à la maintenir pour les indemnités de départ à la retraite.