Je soutiens la philosophie de cet amendement, car les choses sont effectivement risquées. Nous aurions dû adopter le même processus que sur le crédit d'impôt famille, car dans ce secteur d'activité aussi, les investissements sont très lourds et s'étalent sur de longues périodes. Un bornage des mesures à 2022 pourrait fortement fragiliser la filière et ses industriels, qui font des efforts pour améliorer leurs performances énergétiques et leurs procédés, mais ont besoin de visibilité.
Je réagis malheureusement un peu tard, mais il aurait été intéressant de travailler comme nous l'avons fait sur le crédit d'impôts famille, afin d'éviter qu'un bornage très rapide ne déstabilise trop fortement le secteur industriel.