Votre propos introductif m'a un peu alarmé : on a l'impression que vous avez pris cette décision en raison du manque de médecins. Il faudra lire le compte rendu, mais je suis un peu inquiet. On se prive ainsi d'un outil de prévention et l'on fera en effet porter la responsabilité sur les parents alors que leur degré d'appréciation de la santé de leur enfant à partir de ce qu'ils ont observé lors de ses examens médicaux, jusqu'alors de règle, est fragile. Je vous interpelle donc à nouveau sur ces considérants.