Avant que d'aucuns ne pensent que nous serons deux orateurs du groupe socialiste à prendre la parole, je précise que je m'exprime en lieu et place de ma collègue Christine Pires Beaune.
À mon tour, je salue la sage décision qui a été prise, tout en regrettant qu'elle l'ait été dans ces conditions. Nous aurions pu éviter de mettre sous pression les chambres d'agriculture qui, comme nous l'avons constaté en rencontrant leurs représentants, nourrissaient de très grandes inquiétudes. Nos collègues Fabrice Brun et Michèle Victory pourraient en témoigner puisque, aujourd'hui encore, nous avons participé à une réunion avec eux.
J'ai presque envie de dire : tout ça pour ça !