Le dispositif appelé « 1 % solidarité eau », créé par la loi « Oudin-Santini », permet à chaque structure de gestion de l'eau d'affecter jusqu'à 1 % de ses recettes à la coopération internationale en matière d'accès à l'eau et à l'assainissement. Mais son équivalent pour les déchets, le « 1 % déchet », ne suscite pas pour l'instant une mobilisation équivalente des collectivités, notamment en raison de l'absence d'incitations financières. On ne peut pas travailler au niveau national à développer le recyclage des déchets sans oeuvrer à cette politique dans le reste du monde.