Je rappelle que la Cour des comptes évoque, au sujet de l'INPI, une gestion immobilière défaillante, des rémunérations et des primes relevant d'un manque de rigueur, une gestion courante défaillante, des prises de risque excessives, et encore une gestion dispendieuse. Tout est défaillant et dispendieux, mais je retire cet amendement, dans la joie !