Que je sache, il n'y avait pas d'agribashing dans mes propos, monsieur le ministre. Par ailleurs, je ne suis pas de ceux qui pensent que la vocation de la France soit de nourrir toute la planète. Au contraire, je crois qu'il vaudrait mieux nourrir les personnes là où elles se trouvent plutôt que de travailler comme nous le faisons dans le cadre du CETA ou de l'accord en devenir avec le Mercosur. Je pense que nous devons concevoir l'agriculture autrement.