La commission a ainsi introduit beaucoup de dispositions.
Le ministre de l'action et des comptes publics a raison : beaucoup d'amendements paraissent évidents au premier regard, et on se demande comment on pourrait s'y opposer ; toutefois – j'ai, comme lui, systématiquement appelé l'attention sur ce point – si nous les adoptions, nous rendrions une copie très dégradée, et, l'année prochaine, vous seriez nombreux sur ces bancs à nous critiquer pour l'insincérité des budgets et la mise à mal de la sécurité sociale. J'espère que nous aurons dans l'hémicycle des débats aussi sereins qu'en commission.
Nous commencerons demain avec l'article 3, fondamental pour aujourd'hui et pour l'avenir.