Or c'est bien d'une question majeure qu'il s'agit puisque, pour la première fois depuis longtemps, on s'apprête à remettre en cause le principe de compensation et donc à graver dans le marbre de la loi la possibilité pour l'État de jouer avec le déficit de la sécurité sociale.
Je fais ce rappel au règlement pour demander qu'une question aussi majeure, aussi déterminante pour la sécu et son équilibre, fasse l'objet d'un vote demain et non en pleine nuit, alors que les députés ne peuvent utilement en débattre.