Nous avions bien compris que cette limite ne valait pas pour les enfants contaminés en 2020 ou en 2022. En revanche le délai de deux ans nous paraît très court pour des pathologies ayant des causes anciennes mais qui se révéleraient maintenant. Nous sommes dans une matière qui évolue. Le dernier rapport de l'INSERM était une petite bombe en 2013 ; nous ne savons pas ce que dira le prochain. Tout ce sur quoi l'INSERM enquête peut nous révéler des pathologies in utero de l'enfance ou de l'adolescence dont on ne soupçonnait pas le lien de causalité. Il est dommage qu'une limite soit posée en 2021.