La hausse des effectifs d'élèves dans le second degré en cette rentrée est de seulement 0,2 %. L'augmentation des crédits que vous proposez n'est donc pas justifiée.
Ensuite, les emplois dont la diminution est proposée, n'étaient pas, pour la plupart, pourvus par des titulaires. Cette diminution doit être compensée par un recours accru aux heures supplémentaires, permettant d'améliorer le pouvoir d'achat des enseignants.
Enfin, je rappelle que les crédits de l'enseignement secondaire ne diminuent pas. Malgré la hausse très modérée des effectifs, le programme 141 bénéficie de près de 450 millions d'euros supplémentaires.
Mon avis est donc défavorable.