Je ne répèterai pas les arguments que je viens d'indiquer. Je dirai simplement qu'en France, aujourd'hui, il n'y a qu'un seul département où les effectifs sont en tension : c'est le mien, le Val-d'Oise – et ensuite, la Seine-Saint-Denis. Dans tous les autres départements, nous avons réussi, à cette rentrée, à complètement absorber l'augmentation des effectifs démographiques des élèves en lycée. Cet amendement ne nous paraît donc pas justifié et mon avis est défavorable.