Je réponds à M. le rapporteur : sachant que l'adoption d'un tel dispositif aurait pour conséquence de faire baisser le taux de particules fines dans l'air, et donc d'atténuer tous les problèmes qui leur sont associés, notamment les soins en oncologie, qui sont coûteux, les 130 millions en question seraient très facilement remboursés.
Ce ne serait donc pas prendre un grand risque que d'adopter cet amendement, étant donné qu'il est gagé.