Nous proposons en effet de supprimer la taxe sur les farines.
Madame la ministre, nous vous interpellons : une maladie guette nos villes et nos villages ; cette maladie, c'est la ville-dortoir. Les collectivités territoriales luttent ensemble contre ce fléau et pour revitaliser nos bourgs. Dans ces bourgs, il y a des soldats : ce sont les boulangeries et les pâtisseries. C'est parce que nous les aimons, parce que nous tenons à elles et parce que, encore une fois, nous défendons la philosophie du « en même temps » que nous proposons la suppression de la taxe sur les farines, mesure qui a fait l'unanimité en commission des finances. De surcroît, cette taxe est l'une des plus coûteuses à recouvrir – à hauteur de presque 20 % – et elle n'est plus justifiée.