J'aimerais répondre brièvement au sujet des contractuels. On peut admettre, à la rigueur, que l'on y recoure s'il manque un enseignant pour assurer deux, voire quatre heures de cours de langue, car on ne trouvera personne d'autre pour le faire. Il faut alors s'en remettre à la souplesse de fonctionnement des établissements scolaires.
En revanche, si des contractuels occupent des postes pleins, assurant dix-huit heures de cours hebdomadaires, cela pose problème. Or chacun sait qu'il en va ainsi dans certains établissements. On en revient à ce que nous disions tout à l'heure au sujet notamment de l'attractivité du métier. Recourir à un contractuel pour assurer deux ou trois heures d'un enseignement très spécifique ou pour occuper un poste plein, ce sont deux choses bien distinctes.