Je suis une enfant d'ancien combattant, une enfant de pieds-noirs. Il n'y a pas que l'argent pour perpétuer la mémoire ; la mémoire vivante existe aussi, que nous pouvons transmettre tous les jours, que les communes peuvent transmettre. Il existe des maires engagés, nous devons les remercier ; en tant que députés nous devons participer à ce travail, en nous rendant dans les écoles et les collèges, parce que c'est aussi notre devoir, pour expliquer ce que nous sommes, d'où nous venons, et comment nous pouvons perpétuer la mémoire.