Monsieur le ministre, j'ai dit que l'on pouvait comprendre que la DGFIP se réforme en raison de l'évolution ou de la disparition de certains de ses services. Dans ce contexte, il est tout à fait normal que l'on en repense l'implantation dans les territoires, ainsi que la façon dont le service y est rendu.
Quant aux buralistes, je n'ai tenu aucun propos particulier à leur sujet.