J'abonde dans le sens de monsieur de Courson : la médecine scolaire n'a plus le rôle qui lui a été attribué à sa création ; il faut l'envisager de manière complètement différente. Quel sens aurait une revalorisation du médecin scolaire alors que toute la médecine de ville est en crise ? Même si les salaires des médecins étaient doublés, le but ne serait pas atteint. Ce qu'il faut, c'est redéfinir leur rôle, car les besoins de la population en termes de prévention ne sont plus les mêmes qu'au sortir de la guerre.