J'interviens en réponse à madame Cattelot : si nous souhaitons en finir avec la fracture dans les esprits entre le public et le privé, il serait utile de valoriser toute l'histoire et les compétences de ceux que l'on accueille au sein de l'éducation nationale. On impose à ceux qui arrivent les mêmes contraintes que s'ils venaient de passer le CAPES. Or, s'agissant souvent de jeunes parents, les contraintes de mobilité géographique peuvent devenir un vrai frein. De la sorte, dans certaines filières – je pense en particulier aux professeurs de technologie – les manques sont criants.