Madame la rapporteure spéciale, je ne suis pas d'accord : la FDJ, ce n'est pas nous. L'État possède quelque 70 % du capital ; il est représenté à due concurrence de ses participations au conseil d'administration ; il y joue son rôle. S'il considère un jour que des problèmes de gestion se posent, il proposera le remplacement de la directrice générale.
Vous demandez que le Parlement se prononce sur la position que l'État doit avoir, au sein du conseil d'administration, sur la gestion de la FDJ : je comprends le débat politique que vous ouvrez. Toutefois, pour garantir une bonne gestion, chacun doit rester à sa place. L'État est membre du conseil d'administration ; il vérifie que l'intérêt des actionnaires est préservé. Je le répète, le jour où il considérera qu'un problème se pose, le changement du directeur général s'imposera : en l'occurrence, ce n'est pas d'actualité.