Vous détournez la question, monsieur le secrétaire d'État : une telle publicité doit être soumise à l'autorisation du Parlement. La FDJ n'est pas une entreprise comme une autre, puisque son activité risque d'entraîner des addictions au jeu. La publicité incite les Français à investir dans une machine à addiction ! Toute privatisation repose sur une logique de rentabilité, qui provoque en l'occurrence, je le répète, une exposition au risque d'addiction. Je trouve cela dommage, et même fort de café !