Telle est la réalité ! Sur des sujets aussi sensibles que l'aide publique au développement, il faut faire preuve d'un minimum de considération, ne serait-ce que par respect pour ceux qui en bénéficient. Je le répète, nous sommes au rendez-vous, à tous les rendez-vous.
Je voudrais appeler l'attention de M. Bertrand Pancher sur un point particulier, qui semble faire l'objet d'une incompréhension. J'étais au Cameroun il y a quelques jours. Sachez que j'ai affecté une partie des sommes du désendettement de ce pays. Le désendettement donne en effet lieu à des contrats de désendettement et de développement, les C2D, qui conduisent à réaffecter les crédits en faveur du développement des pays concernés.