Beaucoup de choses ont été dites. Nous avons raison de nous intéresser à la politique familiale, qui est un énorme enjeu de cohésion sociale. Je rappelle que cette politique représente 3,5 % de notre PIB, avec 60 milliards d'euros par an qui lui sont consacrés. Ce pourcentage et ce montant seront maintenus, et même renforcés sur certains axes. C'est le sens de la concertation que j'ouvre aujourd'hui avec les familles en vue de repenser notre politique familiale pour qu'elle réponde aux défis de demain, et même à ceux d'aujourd'hui.