Les positions du rapporteur pour avis me paraissent s'inscrire exactement dans la logique de l'acte II du quinquennat, qui consiste à se tourner vers les élus locaux et à faciliter l'organisation territoriale en leur offrant une certaine souplesse. Il faut des règles certes, mais les moins contraignantes possibles – c'est, en tout cas, ce qui ressort de la forme de « ras-le-bol » qu'ils expriment. Quant au problème spécifique de l'eau, doit-il être traité dans ce texte ou dans un autre ? On peut se poser la question, mais je soutiendrai cet amendement.