Je me suis rendu compte, quand j'ai eu à travailler sur ces questions, que 3 millions de personnes n'étaient pas inscrites et 6 millions mal inscrites, dont plus des trois quarts ne votaient pas. Je pense en conséquence que la façon dont nous informons les électeurs est à reconsidérer. Nous pourrions leur laisser, notamment aux plus jeunes d'entre eux, qui sont acculturés au numérique, la possibilité de choisir d'être informés soit par format papier soit par format électronique, dans la perspective d'un renouveau de la vie démocratique.