Je l'ai dit lors de l'examen des amendements précédents, on ne peut que partager ce constat : le sous-investissement a été dramatique pendant plusieurs décennies, que nous sommes désormais contraints de compenser pour le bien-être des gendarmes – comme le signalait M. Bricout – mais aussi des policiers.
Dans ce contexte, le budget prévu est en augmentation, comme vous le constatez depuis 2017. D'autre part, il s'appuie sur une programmation pluriannuelle qui, eu égard au temps long qui rythme l'activité immobilière, est une condition sine qua non d'efficacité. La commission n'ayant pas examiné cet amendement d'appel, j'émets à titre personnel un avis défavorable.