L'action politique de mémoire est en baisse de plus de 5 millions d'euros et sera en partie compensée par la trésorerie de l'ONACVG. À mon sens, cela ne constitue pas une mesure de financement pérenne. Il est important de maintenir suffisamment de crédits pour renforcer cette politique de mémoire, qui avait été bien appréciée d'ailleurs dans les années précédentes, lorsque nous avons fait des efforts autour de la Première Guerre mondiale. Un effort avait été consenti, mais il n'est pas pérennisé. Je pense qu'il faudrait pérenniser cet effort.