L'exposé sommaire de l'amendement de M. Dufrègne est exact, mais si nous le votons, cela aura pour conséquence de pénaliser les pépites de l'industrie française que sont les secteurs de l'aéronautique et de l'automobile. Voilà pourquoi on ne l'a jamais fait. L'intérêt du pays est, en l'espèce, de ne pas passer au groupe, même si cela a sa logique intellectuelle.