Il est très complexe de corriger les abus liés au CIR, comme le démontre l'amendement du rapporteur général, rédigé de manière très fine. Derrière, c'est l'attractivité des investissements qui est en jeu. S'il ne s'agissait que de lutter contre des abus, nous serions tous d'accord.
Je rejoins le rapporteur général, attendons les conclusions des études ; ne votons pas précipitamment des amendements qui risquent d'envoyer des signaux très néfastes pour l'attractivité de notre pays en matière d'investissements dans la R&D.