Là où l'intercommunalité constitue la bonne échelle, pour des raisons de cohérence territoriale ou patrimoniale, aucune ville ne souhaitera revenir en arrière, je n'ai aucun doute à ce sujet. En revanche, comme cela vient d'être dit, une commune pourrait demander à retrouver ses compétences lorsque des particularités le justifient – selon qu'elle se trouve sur le littoral ou dans les terres, ou qu'elle ait une tradition tauromachique. Dans mon territoire, j'ai cité deux exemples emblématiques, qui en plus revêtent un intérêt national, dont l'intercommunalité contrainte a contribué à affaiblir la valorisation. Redonner un peu de marge de manoeuvre aux communes irait dans le sens d'une meilleure valorisation du patrimoine, dans sa singularité. En revanche, partout où l'intercommunalité est la bonne échelle, elle le demeurera.