La motion de rejet présentée aujourd'hui par les députés du groupe Socialistes et apparentés est motivée par sept raisons, que je vais vous présenter.
La première a été évoquée par M. le rapporteur général. Elle n'est pas la principale, mais elle compte tout de même : elle concerne, monsieur le ministre, le timing imposé par le Gouvernement.
Nous savons que l'automne budgétaire est une course contre la montre du fait des délais constitutionnels, mais ces contraintes n'imposent pas pour autant de bâcler le projet de loi de finances rectificative.