Chers collègues, vous pouvez ne pas approuver ce référendum, mais nous parlons d'un droit constitutionnel. Quand le Président de la République a décidé de lancer le grand débat, il a dépensé 12 millions d'euros qui n'étaient inscrits dans aucune loi de finances !
En l'occurrence, il s'agit de permettre à chaque citoyen d'être parfaitement informé de la possibilité d'exercer un droit prévu à l'article 11 de la Constitution.