Madame Rabault, vous rappeliez que nous avons pour mission de faire la loi. Justement, nous avons fait une loi, la loi relative à la croissance et la transformation des entreprises, dite loi PACTE, qui prévoit la privatisation d'Aéroports de Paris. J'ai voté pour.
J'ai été gêné par la décision du Conseil constitutionnel, qui a dit, en substance : « Circulez, y'a rien à voir ! » Quelques semaines après notre vote, on nous indique qu'il n'est pas valable : cela me gêne, en tant que parlementaire. Pour cette raison, je ne soutiendrai pas cet amendement.