On ne peut avoir que des réserves face à l'amendement proposé ; j'en ai deux en particulier qui complètent ce qui a été fort justement dit par mon collègue Charles de Courson. D'abord, il ne s'agit pas de grosses primes parce que si je ne m'abuse – dans ce cas, le ministre me corrigera – , les seules primes qui n'entrent pas en compte dans le calcul des revenus soumis à l'impôt sont celles qui ne dépassent pas un mois de salaire. Ce sont donc des petites primes qu'on va pénaliser.