Cet amendement demande la remise d'un rapport sur l'opportunité d'une révision de la fiscalité qui aurait pour but de soutenir le développement de l'autopartage de véhicules à faibles émissions. Certaines entreprises proposent dès à présent des contrats de vente d'un nouveau véhicule non polluant au même prix que l'ancien véhicule polluant de l'automobiliste, à condition que celui-ci le propose à la location une semaine par mois. Ce rapport pourrait ainsi étudier la non-imposition des revenus tirés de cette location de véhicule – encadrée, le cas échéant, des mêmes conditions d'acquisition que celles applicables à la prime à la conversion.