Cela justifie que la compétence soit exercée par l'EPCI.
J'ajoute qu'il y a eu deux évolutions significatives. D'abord, nous avons neutralisé les compétences optionnelles. Certaines de ces compétences deviendront obligatoires, et l'EPCI devra choisir d'exercer non plus trois compétences optionnelles parmi une liste de neuf, mais une seule parmi une liste de sept. C'est ce que nous avons voté hier soir.
Ensuite, nous avons entendu vos arguments, puisque la subdélégation sera possible lorsqu'une commune dispose d'un plan d'investissement et d'un cahier des charges – c'est-à-dire lorsqu'elle adopte une attitude responsable et fait son travail en la matière.
Personne ne peut dire que nos propositions équivalent à ce qui figurait dans la loi NOTRe. L'assouplissement du dispositif, la neutralisation des compétences obligatoires et la possibilité de sous-déléguer constituent des avancées significatives, qui ne vont pas à l'encontre de la préoccupation écologique que nous manifestons à travers l'article 5.